Actualités | Pauline De Chassey, réalisatrice, a suivi la formation Le Documentaire, Atelier Mode d’Emploi : « cette formation m’a donné un véritable boost pour croire encore qu’il est possible d’être choisie pour son projet grâce à la méthode d’écriture documentaire qu’elle propose »

Pauline De Chassey, réalisatrice, a suivi la formation Le Documentaire, Atelier Mode d’Emploi : « cette formation m’a donné un véritable boost pour croire encore qu’il est possible d’être choisie pour son projet grâce à la méthode d’écriture documentaire qu’elle propose »

Pauline, qui es-tu, que fais-tu ?


Je suis réalisatrice de documentaire pour la télévision parfois et pour les entreprises surtout, PME, associations, etc. Je suis intéressée par les hommes au travail en général et les portraits d’artistes. J’aime saisir le réel avec poésie sans commentaire et avec ma sensibilité propre. Je suis une femme orchestre : tournage (j’adore filmer), montage (Premiere Pro) et même de l’étalonnage (appris à Video Design bien sûr !) 

En quelques mots, quel est ton parcours (professionnel) ?

J’ai fait le BTS Audiovisuel de Boulogne puis je suis partie quelques années à New-York dans une fac de cinéma (Brooklyn College) pour approfondir ma connaissance en documentaire et en cinéma plus largement.

De retour à Paris,  j’ai travaillé pour Marin Karmitz, en faisant des interviews pour les bonus DVD à l’époque, puis j’ai travaillé pour Faut Pas Rêver (mag FR3)  entre autres. J’ai fondé ma société Hitofilms en 2006. Hito est l’idéogramme de l’homme debout. Je travaille comme indépendante. J’ai remporté quelques prix pour mon travail, notamment pour un documentaire «  Génération Y à l’heure du Thé » (2016) qui a obtenu le Grand Prix au FIFMA (Festival International du Film sur les Métiers d’Art) diffusé sur France 3 par la suite. 

Pourquoi cette formation d’atelier documentaire ?


J’ai toujours eu beaucoup de peine à structurer mes projets.

J’ai toujours eu beaucoup d’idées, d’instincts… mais je dois avouer que j’ai du mal à les mettre en forme. Et je sais que la clarté est nécessaire dans le processus de création mais aussi pour vendre ses films !

Le documentaire pour lequel j’ai obtenu un grand prix, je l’ai tourné avec un scénario très vague à l’époque dans ma tête. Ça a marché, j’ai eu de la chance. 

J’ai voulu faire cette formation pour obtenir des bourses (Brouillon ou CNC) et convaincre des producteurs afin de me suivre sur mes projets. Pour cela, je devais  apprendre à rédiger un dossier béton de 10 pages, alléchant et qui va à l’essentiel. 

Qu’en as-tu pensé ?


Hélène Desplanques est une boule d’énergie très généreuse, elle donne la confiance pour se lancer dans les projets personnels que l’on souhaite développer pour la télévision, un parcours semé d’embûches… mais cette formation m’a donné un véritable boost pour croire encore qu’il est possible d’être choisie pour son projet grâce à la méthode d’écriture documentaire qu’elle propose. La focalisation sur les bourses et sur les différents modèles de dossiers possibles était très instructive. 

Quels sont tes projets ?


Chut, je n’ai pas envie qu’on me pique le sujet 😉

Oui je sais Hélène Desplanque m’a expliqué qu’un sujet n’est pas un projet. On n’est pas des journalistes, on fait du documentaire de création 😉  

Sans blague, je développe aujourd’hui des documentaires de société. Pas plus d’un à la fois, et j’essaye d’appliquer la méthode enseignée par Hélène !

Je tente la bourse Brouillon d’un Rêve en ce moment ! 

Encore plus de films de Pauline De Chassey ? sa chaîne Vimeo… et ses 224 vidéos !

Contacter Pauline De Chassey : hitofilms75@gmail.com

En savoir plus sur la formation Le documentaire, atelier mode d’emploi

Hélène Desplanques en formation d'atelier documentaire
Hélène Desplanques en formation d’atelier documentaire

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