Actualités | Didier Canaux, réalisateur, a suivi la formation Prise de vues avec un APN : « j’ai pu en retirer tout ce dont j’avais besoin »

Didier Canaux, réalisateur, a suivi la formation Prise de vues avec un APN : « j’ai pu en retirer tout ce dont j’avais besoin »

Didier, qui es-tu, que fais-tu ?

Aujourd’hui, je suis réalisateur.

J’ai commencé par 2 petits courts métrages il y a longtemps quand je vivais à Londres…

Depuis j’ai fait une bonne centaine de publicités un peu partout dans le monde, puis un autre court métrage « La deuxième vie du Sucrier » qui a gagné pas mal de prix !

Et là je vient de terminer un documentaire « Wall of death Gypsy » sur une famille de gitans cascadeurs, qui a été diffusé sur France 2 le 29 avril, et qui est en replay pendant plusieurs mois.

Quel est ton parcours ?

J’ai fait mes études à new York à la School of Visual Arts : je suis resté à New York une quinzaine d’années, j’étais peintre et j’avais des expositions là bas, en France et en Italie. En même temps j’étais chef déco sur certaines publicités ou certains clips musicaux : j’ai fait les décors par exemple sur des clips de Madonna, ou d’Etienne Daho.

Puis je suis aller vivre à Londres où j’ai essayé de faire des films (les 2 courts métrages), et j’ai bien aimé, ça me plaisait bien plus de travailler avec une équipe plutôt que tout seul dans mon studio de peintre.

Là, je me me suis fait happer par la pub : j’en ai bien profité, j’ai voyagé un peu partout.

Puis je suis venu m’installer à Paris, et en voyant un jour par hasard ce spectacle du mur de la mort, j’ai décidé de les suivre pendant un certain temps et d’en faire un documentaire.

Pourquoi cette formation ?

J’ai commencé à filmer le documentaire « Wall of Death Gypsy », et me suis vite aperçu qu’à force de travailler avec des équipes de professionnels qui géraient toute la partie technique (caméra, lumière et autre) je ne connaissais pas les bases !

Faire une balance des blancs, régler le son, la vitesse, l’ouverture, bref la base pour avoir une image et un son de qualité…

Quand tu fais un documentaire, tu n’as pas les mêmes moyens que sur une publicité.

Et donc seul, j’ai fait à peu près toutes les erreurs possible ! D’ou la nécessité du stage pour être prêt pour le prochain.

Qu’en as-tu pensé ?

Super! Germain a été extrêmement clair et précis, très pédagogue.

J’ai vraiment adoré et j’ai pu en retirer tout ce dont j’avais besoin.

Les gens sont sympas et et l’espace est top.

🙂 Que du bon !

Quels sont tes projets ?

Donner une 2ème vie au documentaire, en l’inscrivant aux festivals un peu partout dans le monde.

Développer, avec un scénariste, l’écriture de 2 séries, l’une, une comédie avec les gitans cascadeurs, et l’autre une anticipation sur la santé connectée.

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