Alistair Rankine propose dans PVC (Pro Video Coalition) un excellent test de Nuke, version 7. Cet article étant en anglais, voici ses grandes lignes …
Plus rapide, répondant aux demandes de ses utilisateurs, Nuke 7 concrétise un certain nombre d’améliorations sensibles.
Malgré de grandes nouveautés, l’interface et la logique de Nuke restent heureusement inchangées.
Nuke 7 propose de la lecture temps réel, grâce à la mise en cache en mémoire RAM des plans et rendus.
Des nodes sont par ailleurs accélérés par GPU (carte d’affichage) : Kronos, Denoise, Vectorgenerator, Zdefocus, Convolve, MotionBlur.
Primatte 5 est l’outil d’incrustation désormais intégré aux Nuke, et Nuke X, plus rapide et plus précis que le keying proposé auparavant.
Le tracker 2D lui aussi est plus précis et rapide.
Un certain nombre d’améliorations, mineures ou discrètes, apportent une plus grande puissance, un « raffinement » de Nuke, en version 7 (3D, re-lighting,…)
La version Nuke X propose aussi plus de nodes accélérés par GPU, et des améliorations du système particulaire, du DephGenerator et du PointCloud Generator.
Nuke X intègre par ailleurs une nouveauté, le Model Builder, outil de modéalisation de maquettes 3D, qui s’insèrent directement dans Nuke.
Nuke 7 et Nuke X 7 gèrent le format OpenEXR 2, pour le deep compositing, et aussi le format Sony Alembic.
Nuke interagit enfin parfaitement avec son nouveau petit cousin, Hiero, outil de confo et travail d’équipe.
Nuke continue d’être l’outil le plus sophistiqué pour les effets spéciaux et compositing, en long métrage, publicité, TV et même institutionnel et architecture…
Nuke surpasse toujours ses concurrents, notamment par sa capacité à être entièrement reconfiguré, amélioré, sur mesure, grâce à son langage de programmation Python.
Weta, ILM l’utilisent… et TOUS les long-métrages sont aujourd’hui traités dans Nuke !
